Eléonore P. Gustave
Nombre de messages : 16 Age : 32 Pseudonyme : chloé. Date d'inscription : 01/11/2009
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| Sujet: ▬ Gaby la hilarante petite soeur. Féminin |free Lun 2 Nov - 15:20 | |
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Nom et Prénom : Gaby Paule Gustave Statut : Célibataire -ouverte à beaucoup de chose Caractère : En gros; jalouse, possessive, emmerdeuse, drôle, généreuse, colérique, aimable. Nature du lien : Bunny et Eléonore sont soeurs avec seulement trois ans d'écart, elles sont inséparables; cependant elles font les pires conneries ensembles.
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▬ « Il n'y a pas de délire d'interprétation puisque toute interprétation est un délire. »Les sœurs Paule Gustave ont toujours été très proches ; avec seulement trois ans d’écart, Je n’ose pas vous mentionnez toutes les conneries qu’elles ont bien pu faire, cela perdure déjà depuis leur plus jeune âge, et c’est tellement bien partie, que ce n’est pas prêt de se finir. On pourrait dire un tas de choses sur les deux fillettes, elles en on tellement fait voir de toutes les couleurs à leur mère, mais aussi bien à leur entourage, qu’on les surnommait les petites pestes, en plus d’être malines et coquines, elles étaient unis et fidèles entre elle ; c’était vraiment une antise d’avoir à faire à ces deux perles. Oui le mot « perle » peut en dire long, mais c’est le mot le plus adéquate pour décrire le duo qu’elles formaient –deux jolies nanas, égoïstes mais si rare- ben ouai ce sont des françaises je rapelle ! Bon en dehors de ça, elles pouvaient être tout autant adorables et appréciables, mais il est vrai que ça se reflétait un peu moins souvent. Avouons-le, la plus terrible des deux c’était bien Eléonore, qui s’en fut à cœur joie, d’apprendre toutes ses astuces, ses conneries, et tout ce qui va avec, à sa sœur Gaby… Il fallait bien qu’elle fasse partager son « mauvais » goût un peu trop prononcé à quelqu’un, et Gaby en fut le première et dernière proie. Non pas qu’elle ne rencontra pas d’autres personnes aussi emmerdeuses qu’elle, mais disons que ça venait de leur éducation, et non de la transmission de la jeune femme –Naméo faut pas exagérer non plus. Pour ne pas changer la tradition, ce jour-là, c’était bel et bien encore Eléonore qui avait emmené Gaby dans un plan complètement galère, un plan qui d’ailleurs était peu prudent, puisqu’il dérobait complètement à toute loi installée- faut dire, s’il y a des lois, c’est bien pour les dérober. Qui me suivent m’aiment- Cette après-midi, Gaby avait le feu au cul, et avait comment dire, envie de partager son enthousiaste avec sa sœur, et c’est pourquoi elle entra sans frapper dans la chambre de sa sœur ; de grands yeux se dessinèrent sur son visage, quand elle vit sa sœur à quatre patte dans son lit –seule. « C’est vraiment à ce point ? » Dit-elle d’un ton désespéré, on aurait presque dit qu’elle ressentait de la compassion pour sa sœur. « Oh toi ta goule, rappelles-toi qui est-ce qui à noël m’a offert ce jolie canard vibromasseur en plastoc’ ? » Un silence régna dans la salle, et Gaby haussa les épaules, puis un sourire apparut sur ses lèvres. D’accord, c’est vrai, ce jolie joujou réservé pour adulte était bien un cadeau de Gaby pour sa sœur ; il faut dire que Eléonore lui avait offert une carte d’inscription pour un club d’échangiste à son anniversaire ; alors ce n’était que vengeance. « Oh mais j'en suis fière, je vois qu'il t'es utile en plus; en revanche moi, je n’ai jamais utilisé ta carte échangiste figures-toi. Gentiment offerte pour mes dix sept ans. » Elle lui fit un clin d’œil, Eléonore remit sa nuisette en place, et sortit de son lit, remettant son sextoys –pour ceux qui n’avaient pas encore compris- dans le placard, et s’avança vers sa sœur. Un ton assuré elle lâcha : « tu as bien eu tord sur ce coup là, tu aurais pu au moins me la donner cette putain de carte, tu ne peux pas imaginer le prix que ça coûte ! Pour le canard, ça me faisait de la peine de le voir dans le tiroir de ma commode, et puis c'est si rare les cadeaux venant de toi que je ne pouvais pas le mettre à la poubelle. » Elle fit l’un de ses plus beau et sadique sourire ; puis sans même laisser le temps à sa sœur de revendiquer quoi que ce soit, elle se dirigea vers son armoire, pour enfiler un pantalon, et enchaîna. « C’est quoi aujourd’hui le programme ? » Honnêtement toutes les deux elles avaient attrapé la maladie de la bougeotte, et quand tu l’as rien qu’une seule fois, c’est pour toute la vie entière. Eléonore était quasi sûr à cent pourcent que sa sœur n’était pas venu là pour lui annoncer que des crêpes au Nutella l’attendait dans la cuisine, mais plutôt pour lui proposer quelque chose de bien plus attrayant, et c’est pourquoi Eléonore, commençait à perdre patience. « Regardes par la fenêtre la Bmw » Ni une ni deux, Eléonore se jeta sur sa fenêtre de chambre, pour regarder la voiture, à vrai dire, elle se demandait encore ce que sa sœur avait dans la tête, et commençait à croire, qu’elle venait tout simplement de lui tendre un piège est qu’il n’y avait absolument rien d’amusement à regarder ce genre de voiture. « Tu ne veux pas non plus que je te fasse un dessin ? Bordel Eléonore, la BMW de Pierrot ! » Et alors ? Ok elle était garé devant leur garage, d’accord, elle était plutôt classe avec les sièges en cuire ; mais bon ce n’était pas comme ci c’était leur voiture, et puis d’abord c’était qui ce Pierrot encore ? Le voisin ? Le nouveau boyfriend de leur mère ? Non mais sans blague, rien qu’avec le prénom on se forgeait un jugement bien précis sur ce type. Gaby, la sœur de Eléonore, souffla bruyament l’air complètement abasourdie. Elle était blasée, alors comme ça sa sœur avait si peu d’esprit dans son cerveau ? Ce n’était absolument pas faisable, l’idée devrait lui sauter à la tête ! « Bon c’est quoi le problème Gaby là ? Et puis c’est qui ce Pierrot ? J’en ai rien à foutre de sa BMW je ne vais pas passer l’aprèm à la regarder! » Décidemment elle avait vraiment rien compris. Rassurez-moi, vous me suivez vous ? Bon peu importe, je vois que je suis obligée de donner plus de renseignements ; très bien je vais le faire, et tout de suite même. « T’en as rien à foutre ? Même si je te dis que j’ai les clefs sur moi ? » Gaby sortit de sa poche le trousseau de clef, avec comme porte clef, une voiture miniature en cuire marron. Eléonore fronça les sourcils, et ouvrit grand les yeux. « Les cle..clefs ?? VITE FILES LES JE VEUX LA TESTER ! » Gaby remit les clefs en vitesse dans sa poche et fit mine de partir, un sourire de gagnante s’affiche sur son visage, et elle remit une mèche en place. « Pas si vite, je me suis pas mal sacrifié pour avoir sa bagnole toute l’aprèm donc je conduis la première ! » Eléonore répliqua au taquet. « Idiote, tu n’as même pas ton permis de conduire, aller passe moi ce trousseau, je t’emmène. » Gaby fit mine de pas comprendre, elle n’avait pas vraiment étudier ce point là, mais elle s’en fichait royalement, permis ou pas. « Et alors ? » Bon de toute manière ; comme je l’ai déjà dit, Gaby est aussi têtue que Eléonore, et donc si Eléonore voulait conduire cette voiture, sans conteste, elle devait laisser sa sœur commencer. « Ok ; ok c’est bon, tu commences… Mais pas plus de cinq minutes, je tiens à ma vie quand même ! » Elles éclatèrent de rire toutes les deux ; et avant de sortir de la chambre, Gaby fit sa sérieuse, et s’exclama : « J’ai tout de même 20heures de conduite en poche » elle fit un clin d’œil, puis alla dans le couloir, suivit de Eléonore, sa sœur, celle-ci s’empressa de répondre froidement. « Je t’explique chérie, tu as peut-être 20heures de fait, mais il t’en fallait 32heures, cela veut bien dire quelque chose.. » Gaby haussa un sourcil, et fit mine de ne pas comprendre, forcément, elle savait maintenant démarrer une voiture, mais disons que s’il lui fallait 32heures, elle partait déjà avec quelques handicaps, elle ne devait pas vraiment gérer la conduite encore, et c’était totalement imprudent ce qu’elles allaient faire, mais étonnement c’est toujours ce qui dérobe les lois qui plaisent aux jeunes de nos jours – tais-toi papy va te coucher !-
Cela faisait à peine dix minutes que les filles conduisaient, tout se passait parfaitement bien pourtant ; mais vous l’auriez sentit à plein nez, elles attrapèrent un accident. Sans endommager qui conque d’autres qu’elles deux, mais disons que la bagnole était elle en revanche irréparable, elle pouvait aller à la casse sans passer par la case départ Bon c’est vrai, elles se sentaient très cons, sur le coup elles avaient peut-être trop abusé. Eléonore était rouge de colère : « Putain Gaby je n’ai même pas pu conduire que toi tu rentres dans l’arbre, maintenant elle est fichue la bmw ». A ce qu’elle venait de dire, on en concluait que la jeune femme en sortait indemne, et n’avait aucunes séquelles de cet accident, en revanche, sa sœur était un peu moins chanceuse. « ELEEONORE ; j’ai trop mal à ma jambe, je la sens plus ; aides moi bordel ! » Eléonore énervé, et prise de colère, ne prit même pas trois secondes pour tourner la tête et regarder souffrir sa sœur, elle s’était mise dans le pétrin toute seule, en tant normale, Eléonore était toujours là pour aider sa sœur et vis versa, mais là on peut dire que la tendance changeait, puisque Eléonore n’avait qu’une seule envie, trucider sa sœur là maintenant tout de suite. « Je m’en fiche tu te démerdes j’appelle maman ! » Eléonore pris son portable, mais avant même qu’elle pu appuyer sur les touches, Gaby l’envoya par terre. « T’es folle ? Tu veux qu’on se fasse tuer ? Non mais t’as rien dans la cervelle, ce n’est pas compliquer de m’aider trente seconde à sortir de cette putain de bagnole et après on voit ? » Eléonore sortit de la voiture, et prit d’un élan de générosité, elle aida sa sœur à sortir, mais celle-ci avait disons la jambe bleu qui avait doublé de volume ; Eléonore ne pu s’empêcher de rire, de se moquer de l’état de sa sœur, puis plaisanta « Là à mon avis, tu en as pour trois mois… » Gaby la regarder méchamment, nan sérieusement, elle n’avait pas autre chose à faire que de se foutre de sa gueule ? Bref, Gaby ne préféra pas répondre, elle souffrait énormément, et s’en voulait encore plus, vu les dégâts de la voiture. « Bon on fait quoi en premier ? L’hôpital à pied sachant qu’il est à 15kilomètres, ou bien on prévient Pierrot ? » Eléonore avait le don d’être encore très drôle dans des situations les plus absurdes qu’il existe, et les plus gênantes. « Oh la ferme ! Toi tu ne fais rien, en tout cas tu dégages de là ! » Eléonore haussa un sourcil, pas question qu’elle jarte, elle avait tout de même un peu de pitié pour sa sœur, et comptait bien la surveiller comme il se doit…
Voilà comment la journée se termina, Gaby se retrouva à l’hôpital aux urgences pendant plus de quatre heure à attendre, pour finalement, se retrouver dans un plâtre intégrale, elle ne pouvait pas plier la jambe, et elle en avait pour un mois et demi minimum. Leur mère avait tout su dans la minute après l’accident, puisque Gaby et Eléonore après leur dispute, s’étaient convaincues d’appeler leur mère, car il n’y avait plus aucune autre solution ; et pour Pierrot, on va éviter d’en parler, quoi que il n’avait pas trop l’air si énervé que ça, sachant que le lendemain pour se consoler, il avait un nouveau 4x4 ; le tout juste sortit, offert par son père. Depuis Gaby a dû mal à reprendre le volant..
Avatar(s) : Natalia Vodianova -négociable, mais je me donne le droit de refuser.
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