Sweva Griffiths SUPERNOVA ▬words like violence, break the silence.
Nombre de messages : 43 Age : 32 Pseudonyme : CHERRYTREE. Crédits : avatar; cherrytree ♦ icons; cherrrrybomb. Date d'inscription : 29/10/2009
Sujet: SWEVA ▬ take a gun and count to three. DONE. Jeu 29 Oct - 1:29
Sweva GRIFFITHS.
21 janvier 1986 à Londres; 23 ans; célibataire; anglaise; aucun;
:: JUST A QUESTION OF DETAILS ::
• l'alcool a toujours adoucit Sweva. • possède de quatre tatouages, un dans le haut du dos, un à la cheville droite, un autre à la cheville gauche, et un sur la cuisse gauche. • a perdu ses parents dans un attentat à Londres. • chante très bien. • rêve de devenir photographe. • a une relationnelle très difficile avec sa grande sœur Phœnix. • Sweva peut avoir de drôles de manies, comme trier sa nourriture, ranger ses vêtements par couleurs, avoir des trousses différentes pour chaque maquillage. Quand elle était plus jeune, elle avait même des petites culottes avec les jours de chaque semaine. • La jeune femme est loin d'être un ange, entre l'alcool et la drogue, elle n'avait pas su choisir. La mort de ses parents la changea totalement, bien que le déménagement à Chicago fut pire pour son caractère. La gentille jeune fille laisse place à quelqu'un d'impulsif, irréfléchie, ironique, taquine, sarcastique, mesquine, et parfois calculatrice. Mais elle serait prête à tout pour les gens qu'elle aime. • Ses histoires d'amours ont toutes connues des échecs cuisants. • Sweva s'est achetée un chien avec l'argent de sa soeur, un adorable Spitz Japonais qui a une adoration pour les manger de portes et de fenêtres. • La seule chose qui lui reste de ses parents, est une voiture de son père, une voiture de collection. Une Mustang. • Sweva a fait sa période vêtements noirs pendant plus de deux ans. • A une tendance à casser ses téléphones portables en moins de 3 mois. Son dernier a fait une chute de 5 étages. • Déteste tout ce qui est technologie sauf les portables. Jamais vous ne la verrez devant un ordinateur - ou alors, sauf pour écouter de la musique. • Depuis que son sevrage à commencer, Sweva a prit pour nouvelles drogues les cigarettes et le café. Et en cas désespérée, le chocolat. • Ses cheveux sont passés par toutes les couleurs pratiquement, dernièrement, elle alterne entre le roux et le noir.
:: LAST BUT NOT LEAST ::
pseudo; CHERRYTREE.
âge & sexe; 18 ans, et pas de sexe avant le mariage.
où avec vous connu CHWC ?Sur BTD, bien que ce soit Woody qui m'ait convaincue de venir.
commentaire, avis, suggestion, question; Je vous aimeees. *a un élan d'amour*
avatar; EVAN RACHEL WOOD.
BLEND; misery angel.
Dernière édition par Sweva Griffiths le Jeu 29 Oct - 17:52, édité 6 fois
Sweva Griffiths SUPERNOVA ▬words like violence, break the silence.
Nombre de messages : 43 Age : 32 Pseudonyme : CHERRYTREE. Crédits : avatar; cherrytree ♦ icons; cherrrrybomb. Date d'inscription : 29/10/2009
Sujet: Re: SWEVA ▬ take a gun and count to three. DONE. Jeu 29 Oct - 1:29
I'M TERRIFIED BUT I'M NOT LEAVING KNOW THAT I MUST PASS THIS TEST SO JUST PULL THE TRIGGER.
Auprès de lui, je me sentais importante, il s’occupait de moi, je me sentais en sécurité. Et pourtant, je savais que penser ça de lui, c’était revenir au fait que j’étais un peu naïve, naïve de croire que j’avais pu lui faire oublier sa femme, naïve tout simplement. Malgré cela, chaque jour, je m’allongeais à ses côtés pour me blottir contre lui, comme si je n’étais plus qu’une enfant qui avait besoin d’affection. Et malgré la douceur de ses paroles et de ses gestes, je savais qu’au moindre faux pas, il serait menaçant, froid. Il l’avait déjà été, et c’était cela qui m’avait poussé à le fuir de nombreuses fois. J’étais bien trop insouciante pour devoir justifier mes paroles, mes actes. Mais ce soir avait été le pire de notre « histoire », le pire oui, parce que j’étais dans un sale état, et que cela avait joué en sa faveur. « Tu as des dettes à payer Sweva. » Il me servait le même refrain chaque soir, dès que je me rendais chez lui. Prenant une gorgée de ma boisson alcoolisée, j’avais finalement levée mes yeux vers lui, mes yeux étaient embrumés, c’était à peine si j’arrivais totalement à distinguer les formes autour de moi, et pourtant, je le voyais de façon nette. « Je sais, je t’ai promis de te rembourser. » Bien sûr, cette situation me rendait encore plus sujette à l’anxiété, car je n’avais pas vraiment de travails fixes. Mes anciens patrons me viraient souvent par manque de volonté, d’attentions, ou simplement parce que j’aimais taper dans des stocks de vin avant de venir au travail. Du coup, je n’avais qu’une pauvre opinion de moi-même, puisque j’allais jusqu’à me vendre pour avoir un peu de sous, argent que j’utilisais pour rembourser, mais aussi pour m’acheter de nouvelles drogues. Tout ceci était un cercle vicieux, et je m’en rendais de plus en plus compte, surtout quand X était entrain de me fixer, avec le visage fermé. La tempête était en approche, et j’allais en être la victime. « Ce ne sont que des paroles. Cela fait trois mois que tu dis ça, en attendant, ça ne t’empêche pas de te payer de l’alcool et tes drogues. » Et dans un geste de colère, il avait fait volé mon verre d’alcool en éclats, verre qui était entré en collision avec le mur.
« Je tiens toujours mes promesses. » Mais visiblement, celui ne lui plus guère, car il m’attrapa au niveau du visage, en serrant de toutes ses forces, comme si il souhaitait me briser la mâchoire. « Tu es complètement défoncée, mais sache que je ne te laisse pas plus d’un mois pour me rendre l’argent que tu me dois. » De nature anxieuse, je l’avais alors fixée, remarquant les traits de la colère sur son visage. Il avait toujours été plus ou moins effrayant à ces heures, mais il s’avérait être une bonne personne quand il le devait. « Maintenant, dégage. » Puis il m’avait relâché en me poussant. J’étais restée là, à le fixer. Sans rien dire, jusqu’au moment où il releva le visage vers moi. Visage qui semblait toujours impassible. « Ne m’obliges pas à le répéter une seconde fois. » Puis, fébrilement, j’avais attrapée mon sac et ma veste, avant de quitter son appartement en pleine nuit. C’est à ce moment précis que ce fut une dégringolade, qui allait me mener droit vers… ma sœur.
AS MY LIFE FLASHES BEFORE MY EYES I'M WONDERING WILL I EVER SEE ANOTHER SUNRISE? SO MANY WON'T GET THE CHANCE TO SAY GOODBYE BUT IT'S TOO LATE TOO PICK UP THE VALUE OF MY LIFE.
Je ne me souviens plus exactement de ce qu’il s’était passé ce soir là, je me souvenais de ma dispute très brève avec X. Puis sans même savoir comment, je m’étais retrouvée sur le seuil de la porte, assise sur le sol. Entendant le bruit de la sonnette, je savais parfaitement que cela ne pouvait être moi. La porte s’ouvrit doucement, j’avais les yeux fermés, je ne me fiais qu’à mon ouïe. « Excusez-moi de vous déranger, mais j’ai trouvé cette fille devant l’immeuble, elle n’arrêtait pas de prononcer votre nom de famille. » J’entendis un bref remerciement, avant de me rendre compte que je me trouvais chez ma sœur. M’aidant à me relever, c’était à peine si je savais rester droite. Je ne savais plus ce que j’avais pris, sûrement un mauvais mélange, j’avais des sueurs froides, et je me sentais souvent partir, un profond sommeil qui semblait m’appeler. Et sans même comprendre le pourquoi du comment, je me retrouvais sous une douche froide. Ce qui eut pour effet de me réveiller immédiatement. « Putain, c’est quoi ce bordel ? » J’avais essayée de sortir de la douche, mais Phoenix m’y avait violemment poussée. « Ce bordel ? C’est toi devant ma porte, complètement défoncée, et bourrée. » Que pouvais-je répondre à ça ? Elle avait amplement raison, mais Phoenix avait été la seule personne en qui je pouvais avoir confiance, la seule personne qui pourrait m’aider, parce que j’avais décidée que c’était terminé, oui, terminé. Finalement, elle me laissa sortir, mais, je me sentais à nouveau partir, me laissant sombrer, et glisser sur le sol, les paupières lourdes. Je sentais de faibles gifles sur mes joues, avec la voix très lointaine de Phoenix qui m’ordonnait de ne pas m’endormir. Puis, ensuite, trou noir.
Ce n’est que le lendemain, que le réveil fut difficile. M’éclaircissant la gorge, j’avais alors voulu me redresser, quand une personne me repoussa en arrière. J’ouvris alors les yeux. Avec effrois, je me rendis compte que je me trouvais à l’hôpital. « Qu’est-ce que je fou là ? » Naturellement, personne ne me répondit. Même pas l’infirmière qui pourtant restée planté là, à mes côtés, comme si elle… me surveillait. Soudainement, Phoenix et Glen étaient apparus devant moi. À vrai dire, je n’avais jamais vu ce Glen, sauf que ma tante me parlait parfois de Phoenix et lui, surement pour me mettre au courant. Me sentant soudainement honteuse, je devais affrontée le regard froid de ma sœur. Nos relations n’étaient plus au beau fixe. Elle avait essayée de m’aider, mais je n’en avais fais qu’à ma tête. À présent, j’attendais la remarque qu’elle allait me faire, car c’était toujours comme ça. « Phoenix… » Étrangement, Glen quitta la pièce dès le moment où j’avais prononcé le prénom de ma sœur, il devait se douter qu’il valait mieux rester en dehors de cela. « Sweva, tu ne te rends pas compte. Tu crois sincèrement que j’ai que ça à faire ? » Bien sûr, elle avait sa vie, et je le comprenais parfaitement. Je ne pourrais même pas lui en vouloir si elle souhaitait me renvoyer chez moi. « Je suis… » Ma gorge était sèche, mais je n’avais pas besoin de m’exprimer puisque ma sœur me coupait sans arrêt. « Tu te permets d’arriver devant ma porte complètement défoncée et bourrée. Dis-moi où tu vis, Glen et moi te raccompagneront quand tu seras sur pieds. » Et de façon plus ou moins violente, sans vraiment le vouloir, j’avais finis par dire avec un air paniqué. « Je ne veux pas retourner chez moi, je ne peux pas. » Le teint de Phoenix devint soudainement rouge. « Tu crois sincèrement que je vais te laisser te regarder te détruire en enchainant cocaïne et vodka. » J’avais baissée le regard, ses paroles m’avaient touchée en plein cœur, car je me rendais soudainement compte que je n’avais pas été la meilleure petite sœur au monde. « C’est différent cette fois-ci. » C’était le cas, je souhaitais m’éloigner de ces vices, avoir une seconde chance, une vie meilleure. « Qu’est-ce qui est différent ? Cette fois-ci, ce ne serait pas la cocaïne mais le shit ? » Je ne pouvais pas la blâmer, pas du tout. « Non, cette fois-ci, j’ai décidée d’arrêter. » Puis, après, ça avait été le trou noir, j’étais restée à l’hôpital pendant une semaine, avant que Glen et Phoenix ne m’accueillent chez eux, le temps que je me reconstruise une vie.
CREDIT; soft_memories, vol4itca; racheldinozzo.
Dernière édition par Sweva Griffiths le Jeu 29 Oct - 17:53, édité 5 fois
Sidonie Risler
Nombre de messages : 96 Age : 31 Pseudonyme : BBH. Crédits : SHINEDOWN. Date d'inscription : 29/10/2009
Sujet: Re: SWEVA ▬ take a gun and count to three. DONE. Jeu 29 Oct - 1:30
RUSSIANN ROULETTEEE. JE TE NAIMMEE TOOPINNEUUUUHH. .