LOUISIANA PRESCOTT_ i'm gonna be somebody.

Louisiana PRESCOTT
LOUISIANA PRESCOTT_ i'm gonna be somebody. Jidxmw

Lou; 10 juin 1984 à Boston; 25 ans; célibataire; américaine; artiste peintre;

:: THE STORY OF ONE LIFE ::

« Je m'appelle Louisiana Prescott et aujourd'hui on m'a appris que l'argent ne tombait pas du ciel ou qu'il ne se cueillait pas sur les branches des arbres. »

Et pourtant j'aurais tellement voulu que ce soit vrai. Cela aurait voulu dire que nous, les Prescott, habitants de Boston, n'aurions pas eu à travailler si dur dans le misérable but de ne récolter que très peu d'argent pour subsister durant d'aussi longues années. Qu'est-ce qu'être dans ma situation sinon que de ne pas avoir tout ce dont je rêvais ? Pas de gros compte en banque, quasiment aucune vie sociale et ce même si vous êtes l'être le plus adorable au monde, pas de notoriété... Et pourtant, d'un autre côté, je n'échangerai ma situation, ni ma famille pour rien au monde. Je n'avais pas besoin de cet argent pour vivre pleinement. Mes parents avaient toujours été là pour me soutenir, peu importe mes choix. Quand vous grandissez au sein d'une famille aimante, l'argent n'a plus son importance. L'amour de mes parents m'a aidé à survivre. Ils ont fait de moi quelqu'un de bien. J'aime ce que je suis devenue et tout cela, c'est à eux que je le dois. Je vis de ma passion et ça ne rapporte pas beaucoup. Mais je n'en ai que faire.

« Je m'appelle Louisiana Prescott et aujourd'hui on m'a appris que j'étais la grosse tête de l'école. Oh et qu'on ne m'appréciait pas tellement. »

J'étais vraisemblablement la fille la plus discrète que Boston n'ait jamais connu et certainement la moins superficielle. Autant dire que je n'étais pas quelqu'un qui se mélangeait à la cohue, je préférais rester seule. Du moins, c'est ce que je préférais penser. La vérité, c'était que je n'avais pas le choix. On ne m'appréciait pas tellement. Évidemment, je ne m'intéressais pas à la même chose que la moitié des jeunes filles de mon établissement scolaire: les garçons, la beauté superficielle, les potins. Ce n'était pas mon truc. En plus de cela, je ne savais pas m'y prendre avec les garçons, c'était chose indéniable. Oui mais j'avais au moins le mérite d'assister à tous mes cours et d'être une élève plutôt brillante. D'ailleurs on ne s'intéressait à moi que pour cela. Les garçons surtout venaient me voir pour quémander de l'aide. Enfin c'est ce qu'ils prétendaient, en réalité ils voulaient que je leur donne par exemple les réponses du devoir. Vous voyez le genre. Et à cette époque encore, je ne pouvais rien refuser à personne. Heureusement, je suis certainement moins naïve aujourd'hui.

« Je m'appelle Louisiana Prescott et aujourd'hui on m'a appris que j'étais amoureuse. Un sentiment bizarre, n'est-ce pas ? »

Pas de belle fortune, pas beaucoup d'amis et les garçons, ce n'était pas trop ça. Ceci dit, même l'homme dont j'étais insatiablement amoureuse ne daignait m'accorder un regard au lycée. Quelques années plus tard, il lui avait fallu plusieurs semaines d'acharnement pour que j'accepte enfin de sortir avec lui. Ce soir-là, il m'avait invité dans un très beau restaurant. Nous avions discutés de tout et de rien et ce fut ce soir-là que je me rendis compte que j'avais bien plus de points communs avec lui que je ne pouvais le penser. Je pensais que nous étions aux antipodes l'un de l'autre, mais ce temps passé ensemble me prouva rapidement le contraire. Il n'était pas si superficiel que ça et je voyais bien qu'il était différent du jeune homme du lycée. Il n'était plus le même, il s'était métamorphosé, on pouvait le dire. La soirée aurait pu se prolonger, mais je devais rentrer tôt, je ne me souviens plus de la raison que je lui avais donné. Je l'avais alors remercié pour cette magnifique soirée et je l'avais abandonné en plein milieu du restaurant. Mes pas se faisaient plus vifs et j'atteignais enfin la sortie. Les gens autour de moi battaient le pavé de leurs talons de plus en plus en rapidement à mesure que la pluie s'amplifiait. C'était tout un spectacle qu'il m'était offert de voir. Des bosseurs acharnés se précipitaient sous la pluie, un journal au-dessus de leur tête tentant vainement d'atteindre un taxi. Des enfants excités et leurs parents agacés se tenant la main, à la recherche d'un abri qui veillerait à les protéger de cette averse si soudaine. A peine quelques instants auparavant, j'étais en SA compagnie, nous étions plongés dans un cadre très romantique, très intime et moi, j'étais partie 'en courant' telle une fugitive, tentant tant bien que mal de ne pas tomber. Je titubai, mes escarpins me faisaient un mal de chien et la pluie battait toujours de son plein. Tout s'agitait autour de ma personne et après une course acharnée, je m'arrêtai en plein milieu du trottoir et portai mon regard vers ce ciel nuageux et pluvieux qui ne laissait présager rien de bon. Les gens me bousculaient, mais je n'en avais que faire, car bizarrement pour une fois j'avais la véritable impression qu'on s'intéressait réellement à moi et ce, pour de bonnes raisons. J'aimais ce sentiment, un sourire se dessinait alors sur mes lèvres humidifiées par ces gouttes de pluie illuminées par les réverbères de la ville. Tout cela avait l'air si beau, tellement irréel. Je me disais que je devais certainement être plongée dans un de mes rêves les plus fous, car l'instant d'après fut l'un des meilleurs moments de mon existence. Alors que tout s'agitait brusquement autour de moi, je restais plantée là sur mes deux pieds à observer le néant ou les expressions sur les visages des habitants, je n'avais plus envie de bouger et j'oubliai déjà que j'avais abandonné celui que je considérais encore au lycée comme l'homme de ma vie, celui qui partagerait mes angoisses, ma joie, sa vie, en somme. Et pourtant, étonnamment, je sentais sa présence. Bonne intuition, puisque j'entendis de loin sa voix souffler mon prénom pourtant si banal d'une voix si mélodieuse, tellement envoûtante que j'en perdais presque tout mes sens. Perchée sur mes hauts talons, je me tournai légèrement de façon à apercevoir sa silhouette, je le vis qui s'approchait de plus en plus rapidement. Je ne me souviens plus de ce qui a pu se passer entre temps, je sentais juste son visage en face du mien, une minime distance nous séparant l'un de l'autre. Son visage s'approchait dangereusement du mien, tout cela avait l'air de se dérouler si lentement de sorte que je profite de cet instant qui me semblait magique, que j'avais alors tant attendu. Nos lèvres se scellèrent pour la première fois. Un baiser des plus passionnés qui soit. Je ne voulais pas de cet instant qu'il s'arrête. Là. Je me sentais bien.

Si tout s'était seulement terminé ainsi. Nous avons passé la nuit ensemble et j'appris plus tard que c'était juste un pari idiot. Apparemment le temps n'avait en rien fait mûrir ce grand gamin. Et moi, grande ingénue que je suis, je l'ai cru. Plus jamais.

« Je m'appelle Louisiana Prescott et aujourd'hui on m'a appris qu'une vie à Chicago n'était pas de tout repos et que mince, je n'étais vraiment pas chanceuse. »

Voilà maintenant un an que je me suis installée à Chicago. C'est une très belle ville, je le conçois et j'espère ne jamais avoir à la quitter. Je m'y suis attachée, d'une certaine façon. Par ailleurs, je suis artiste peintre. Je vis de ma passion. Je ne roule pas sur l'or, mais je ne demande pas plus que cela. Je suis bien comme je suis. J'ai un toit, c'est l'essentiel. Je n'ai pas tellement de mal à me fondre dans la masse, mais en règle générale, je préfère rester seule, mais ce n'est pas toujours chose aisée. De plus, côté prince charmant, je n'ai toujours pas trouvé le mien, mais en compensation - maigre lot de consolation - j'ai un don juan qui veut, j'ai l'impression, à tout prix m'attirer dans ses filets. Je ne céderai pas. Et puis autant dire qu'au fond, j'apprécie nos joutes verbales quotidiennes, l'appartement serait sans doute d'un ennui sans lui et son assurance illimitée. Ce que je peux détester les hommes de son genre. Pas romantique pour un sou, sûr de lui, peut-être même trop et qui change de partenaire comme de chemise.

« Horsfield. Encore toi et oh! quelle surprise, Barbie poupée gonflable! »

« Ne sois pas jalouse, tu sais très bien que ç'aurait pu être toi. »

« Sans façon. Et gare à ce qu'elle ne s'envole pas. »

« Je ne promets rien. Je risque très certainement de l'envoyer au septième ciel. »

« Très délicat Liam. Vraiment. »

« Je sais. Si tu n'étais pas si difficile, pour toi j'aurai décroché la lune. »

« Bien sûr. Tu m'excuses, j'ai d'autres chats à fouetter. »

« Oh Lou, tu me piétines le cœur. »

« Tu me vois désolée de piétiner un organe que tu ne sembles pas posséder. »

« Si tu me laissais une chance, tu verrais que tu te trompes. »

« C'est ça. A jamais Horsfield. »

« A très bientôt Prescott. Je sais que tu attends déjà impatiemment notre prochaine rencontre. »

Il était déterminé, je l'étais encore plus. Je devais lui résister autant que possible. Je ne pouvais supporter la manière dont il se comportait avec la gente féminine, il était détestable. Dans ses paroles comme dans ses actes. Et pourtant, il était si séduisant et ça personne ne pouvait le nier, pas même moi. Mais je pouvais lui résister, non ?

:: JUST A QUESTION OF DETAILS ::

SENSIBLE • FAROUCHE • COCASSE • DISCRÈTE • GÉNÉREUSE • IMPRÉVISIBLE • IMPATIENTE • TÊTUE • FIDÈLE • JALOUSE • TIMIDE • INDÉPENDANTE ATTACHANTE • SOURIANTE • DOUCE • SOUVENT INDÉCISE • INSOUCIANTE

Elle ne se mêle que de ce qui la regarde.
Elle est très souvent discrète.
N'aime pas qu'on parle d'elle.
Elle est artiste peintre.
Elle est née à Boston, issue d'une famille modeste.
Elle ne cherche à plaire à personne.
Elle était la 'grosse tête' de sa classe.
Les filles de sa classe cherchaient à se faire remarquer, parlaient sans cesse maquillage-potins-garçons, tandis que Louisiana, elle, préférait plutôt lire des romans ou dessiner le paysage qui s'offrait à elle.
Elle s'évertue toujours à chercher le bon côté des personnes qu'elle côtoie.
Elle ne dépense jamais énormément.

:: LAST BUT NOT LEAST ::

pseudo; oh tainted!

âge & sexe; seize ans, fillette.

où avec vous connu CHWC ? sur BTD.

commentaire, avis, suggestion, question; j'adore.

avatar; Olivia Wilde. I love you

SUNNY
Vraiment contente de te compter parmis nous

JUJU'.

Contente d'être là. I love you

LIAM

OH TOIII!

PENNY-PEN.

AAAAAAAAAAAAAH ELLE EST TROP BELLE OLIVIA thud

Dépêche toi de faire ta fichette qu'on puisse RP pervers

MMAAAAMMAAMIIAAA, MON PPAAPPIERR. LUUVEE YOUUU. I love you

OLIVIAAAA (a).
Bienvenue !

OUAIS ELLE EST SUBLIME!

Promis, je fais vite. ahah

MILKAAAA, LOVE YOU TOO.

Merci Colyn! I love you

Han c'est Ryaaaan. thud

Frenglish, avec la magnifique Olivia.

Bienvenue !

OH FRENGLIIISH D'AMOUR & SOPHIA.

Merci beaucoup. I love you

OLIVIIIIIA I love you

Excellent choix Frenglish; thud

ET KEIRA.

MAIGRE LOT DE COMPENSATION Shocked

Comment tu me vexes là Suspect

J'en étais sûre. mdrr

Bah attends, c'est loin d'être un prince charmant quand même.

Et puis j'ai dit qu'elle n'était pas une fille facile. ahah

Tssssssssss.
Et puis d'abord il peut être très romantique s'il le veut.
Laisse lui une chance et il te le montrera ahah

Bien sûr, c'est ce qu'ils disent tous. Laughing

Oui, romantique, un court instant seulement, histoire de l'attirer plus aisément dans son lit. ahah

Oui bon d'accord je l'avoue. Mais il ne tient qu'à elle de lui faire ouvrir son coeur

T'as au moins l'audace d'avouer ça.

Évidemment. Tout comme il ne tient qu'à lui de lui montrer qu'il mérite sa confiance. ahah

Louisiana Prescott a écrit:: Elle s'évertue toujours à chercher le bon côté des personnes qu'elle côtoie.

Et pourquoi y aurait deux poids deux mesures hein ? marteau

Pourquoi elle cherche pas le bon côté chez Liam ?

Ooooooh ça me donne une super idée pour notre premier topic un truc de ouf aaargh

Parce que Liam c'est pas pareil. Elle veut pas et puis il ne l'aide pas beaucoup.

C'est quoiiiii ? J'veux savoir!

Il aurait pu faire jouer ses relations (enfin celles de son père) pour obtenir un droit d'exposition au Musée des oeuvres de Lou. Il aurait tout préparé en douce et il lui aurait envoyé l'invitation qu'au dernier moment.

Alors certes elle va pas apprécier qu'il ait fait ça dans son dos, elle va l'engueuler parce que pour les exposer il a bien dû lui "voler" ses toiles, et elle va le frapper pour la mettre dans une telle situation mais elle verra ptet un semblant de bon côté chez lui comme ça Cool

Han oui, ça me semble très intéressant tout ça. ahah

Il lâche pas prise hein. Laughing

Bon, c'est nul hein, mais j'ai enfin terminé.

Depuis sa naissance il est habitué à obtenir tout ce qu'il veut donc non il ne lâchera pas Laughing

Dis pas de bêtises c'est parfait

Je valide donc et je lance notre toto demain parce que là je suis naze xD

Elle n'est pas un objet et puis un peu de changement ne fait de mal à personne.

» LOUISIANA ♠ down, you can't hold me down.
» I know you're gonna find your way back to me ▬ RReynolds ♦ UC.