Eléonore P. Gustave
Nombre de messages : 16
Age : 32
Pseudonyme : chloé.
Date d'inscription : 01/11/2009
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 | Sujet: Why not to hide still? •• Aiden  Mar 3 Nov - 1:03 | |
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Comme tous les jeudi soir ; Eléonore se rendait au Starbuck Coffee, pour parler avec le barman- un mec d’une quarantaine d’année, plutôt cultivé qui avait le dialogue facile. Et puis c’était souvent lui qui l’a ramené, peut-être parce que es jeudis soirs ; c’était le jour de déprime, et qu’elle se la jouait solo devant sa vodka ou son whisky, tel un alcolo ferait tous les soirs. Non pour Eléonore seulement le jeune –heureusement c’était bien suffisant. Elle aimait se rituel, et cela durait depuis son retour à Chicago ; c’était à dire il y a quelques semaines à peine... Enfin, elle n’était pas là pour très longtemps encore, mais suffisamment pour s’y réintégrer. Elle venait là pour un stage, qui durait exactement 6mois, mais rien ne l’empêchait de prolonger son séjour à Chicago si vraiment elle ne trouvait plus l’envie de repartir vivre en France. Elle connaissait déjà Chicago et quelques habitants d’ailleurs, mais c’est vrai qu’elle avait toujours eu une préférence pour son pays natal, la France. Enfin peut-être y aura-t-il quelque chose ou bien même quelqu’un qui sera la retenir plus longtemps. Peut-être justement un job, oui un métier, car la jeune femme n’a pas encore trouvé sa voie, et voilà la raison de sa venue dans ce pays qui n’est pas le sien, et souhaiterais vivement trouver quelque chose à faire, qui lui plaise surtout –et ça ce n’est pas de la petite affaire, parce que pour tout vous dire, la jeune femme est très difficile, et si vous saviez le nombre de chose qui sont rayés de sa liste c’est effrayant. En clair, c’est son dernier espoir. Bon c’est vrai, elle pourrait largement vivre dépendante de ses parents, puisque la jeune femme vient d’un milieu bourgeois, et son père lui verse un grand nombre de pièces chaque mois sur son compte. Enfin peu importe seul l’avenir nous le dira. Eléonore, entra donc dans ce fameux bar, un endroit plutôt glauque d’ailleurs, avec un étage, au rez-de-chaussée se trouvait des tables et une télévision écran plasma, où y étaient le plus souvent les personnes âgées. Les jeunes New Yorkais, montaient un étage pour se retrouver devant le bar, et des tables aussi, où il y avait un peu de musique. Eléonore grimpa donc les marches, et tomba nez à nez avec le barman, qui était entrain de descendre deux cafés pour les clients du bas justement. « Salut Junio ; Café ce soir ; et oui il faut changer les habitudes. Enfin pas trop chaud pour moi, mais je te fais confiance ! » Elle lui fit un clin d’œil, puis elle alla s’accouder au bar. Elle jeta un coup d’œil vite fait dans la salle de gauche à droite et ne vu personne de connaissance, jusqu’au moment où ses yeux se posèrent radicalement sur une ombre apparemment de sexe masculin –preuves : la personne en question était plutôt baraquée, avec les cheveux court. Un homme quoi. Eléonore connaissait cet homme, pour tout vous dire, elle avait été plutôt intime avec lui, mais depuis son départ pour la France il y a quelques années maintenant, elle ne l’avait plus revu, seuls quelques emails faisaient correspondances, mais à vrai dire, Eléonore l’avait en effet un peu mis dans les oubliettes. Non pas qu’elle ne l’aimait pas bien au contraire, mais elle était trop occupé, et est contre les relations à distance. La jeune femme n’arrêtait pas de la fixer, elle n’en revenait toujours pas, franchement, elle ne pensait pas le revoir aussi hasardement que maintenant, une chose est sûre, elle était plutôt contente de le revoir, et de savoir qu’il était en pleine santé. Le barman revint derrière son comptoir, et regarda le jeune homme en question ; en guise de lui demander ce qu’il voulait. Avant même qu’il ne puisse sortir quoi que ce soit, Eléonore répondit à sa place. « Pour le jeune homme se sera un café bien chaud, avec deux sucres et ne pas oublier la goutte de lait. » Celui-ci très étonné se retourna et Eléonore lui fit un sourire en coin. Bordel ça faisait un bail ; j’ai envie de dire : vive les retrouvailles. *baf*
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